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mercredi 9 septembre 2009

Autour des 7 arpents 15/11/2008



Nous sommes partis du cimetière. En longeant le mur de clôture, nous rencontrons la borne n°16 mais le chemin de bornage habituellement utilisable est envahi de végétation. La borne n°15 est située sur la rue de l'Orme Mort, en face d'une maison neuve ; celle-ci présente un mur en cours de restauration et un mur de parpaings habillé de pierres d'un bel effet. En montant la rue, nous découvrons une rue neuve, sans nom. Au bout, une vieille baraque avec le nom de Goulard qui a été propriétaire de la carrière de pierres d'où viennent les murs. Le front de taille à pic n'est pas accessible, la carrière est emplie de végétation.
Plus loin, la rue des 7 arpents se termine par un rond-point fleuri. D'après le cadastre, un petit chemin devrait se trouver entre les propriétés. Pas de trace visible.
Nous reprenons la rue de l'Orme Mort qui longe la forêt. Au bout, un atelier de menuiserie et le goudron s'arrête. Mais le chemin de bornage est accessible avec la borne 12 puis 11, peu visible. En fait un sentier discret quitte le bornage pour atteindre un escalier en rondins qui descend jusqu'au Pavé du Prince, route impressionnante creusée dans le coteau en 1726, avec ses pavés d'origine.
Les curieux pourront chercher la borne 10, à gauche de la zone élargie, cachée sous la mousse et le lierre.
Plus loin est visible une sorte de levée qui longe le mur de clôture. C'était un canal qui recueillait des sources pour alimenter un petit moulin. Après un virage, plus de trace, la rue a été élargie.
Nous prenons la rue des Mocque Paniers.En fait des murs ont été abattus pour y construire quelques maisons, la rue est irrégulière. En avançant jusqu'au bout, nous découvrons une porte, puis une deuxième et nous arrivons dans le sentier des 7 Arpents qui, autrefois, finissait à cet endroit dans un jardin.
Ce petit sentier, irrégulier, pentu, rocheux à cause de murs en ruines, bordé d'un côté de friches, dégage un impression étrange. A la fin, entre des murs très étroits, nous arrivons à la rue Thiers que nous remontons jusqu'au cimetière. Cette zone apparemment peu fréquentée, vaut le détour et nous pose de nombreuses questions.

Cadastre de 1836.

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