
Nous partons de la place de la Grand Cour à By. Cet ancien hameau est très particulier avec ses nombreux puits, ses cours communes et ses ruelles étroites dont certaines sont privées, d'après le cadastre (et en cul de sac). Nous entrons dans une cour commune avec un beau cadran solaire puis nous continuons un chemin étroit : le sentier des Closeaux. Notre marche est arrêtée par un effondrement d'un haut mur. Une ruelle nous permet de retrouver la rue de Bellevue, autrefois appelée ruelle au Chat (?). Par la rue de la Source, nous revenons au sentier des Closeaux, qui se termine en cul de sac. En fait la rue de la Source a été ouverte dans les années 1930 et la partie des Closeaux qui ouvrait sur la rue de Bellevue a été privatisée.
Nous descendons jusqu'au lavoir, construit vers 1930, à partir d'une source ? Pas de renseignement. Nous prenons à droite le chemin des Larris, très ancien chemin sur le plateau, qui domine les "Abimes de By" qui sont désormais boisés. Le mot Larris désignait autrefois des zones à moutons, non boisées. Le balisage du Tour de Thomery sort à la rue de la Source mais nous continuons sur le chemin, parfois sans mur, avec la pente très raide d'un côté. Nous traversons une zone effondrée depuis une vingtaine d'années et qui a été réaménagée. Le chemin remonte pour sortir sur le chemin des Roches à Robin. Nous longeons une propriété, avec une sorte de tour en ruine, construite à la fin du 19e siècle. Puis nous arrivons à l'aqueduc venant de la région de Provins, construit en 1927, pour se joindre à l'aqueduc de la Vanne qui alimente Paris.
Nous sommes sur le territoire de Veneux les Sablons, rue du Puits de Rosay. Nous revenons vers Thomery, rue Rosa Bonheur, pour obliquer rue des Petits Sablons. Nous retrouvons une autre partie du chemin des Roches Courteaux où plusieurs maisons sont en construction. Comment sera ce chemin dans quelques années ?
Nous remontons la rue de la Source, puis par un court passage où se trouve un puits, nous atteignons de nouveau la rue Rosa Bonheur. Devant l'école Jacquemin, nous prenons le "Passage de l'école" dont la pancarte est toute rouillée et mériterait un peu de peinture.
Grâce à ce passage, nous arrivons dans la rue du 14 juillet. Un immense mur à droite a été récemment recrépi avec soin.
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